Au marché

Quand manger devient un luxe au Cameroun

Les prix de certains produits alimentaires de première nécessité connaissent de jour en jour une hausse. Une situation que les ménagères supportent de plus en plus mal.
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En saison pluvieuse, il est quasi impossible de trouver du haricot de bonne qualité à moindre coût. « C’est mieux de se ravitailler en saison sèche parce que dès l’approche de la saison pluvieuse, les prix grimpent automatiquement. Sécher et transporter deviennent compliquer »,  explique une vendeuse du marché de Mendong. Les prix de la boîte de haricot varient en fonction de leur couleur. Sur les étals d’Hélène, vendeuse dans ce même marché, il y’a deux styles de haricot rouge : le gros grain et le petit grain. La petite et la grande boîtes sont respectivement vendues au prix de 100 et 150 Fcfa. Soit le même prix que la boîte de haricot noir. Le haricot de couleur blanche quant à lui  est cédé aux prix de 150 et 300 Fcfa la boîte. Les seaux de 2,5 et 5 litres valent 2250 et 4500 Fcfa.  Au marché de  Mendong, Hugues, petit commerçant ambulant qui, vend du haricot dans sa brouette, écoule sa marchandise aux prix de 2 100 et 4 000 Fcfa pour le petit et le grand seaux. Lire la suite

 

Roseline Ewombe Eboa et Hilary Sipouo

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