Sanaga-maritime.

Comment l’insécurité sévit dans les villages sur « l’axe lourd »

Dans ces localités situées le long de la nationale n°3 qui relie Douala et Yaoundé, les vols, agressions et tueries sont décriés. Lire notre dossier
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S.M. Bell Bell Louis, le chef d’Ekite 4 dans l’arrondissement d’Edéa 2, à la voix grave lorsqu’il évoque le problème d’insécurité dans sa localité. Une zone, dit-il, qui accueille nombre d’usagers qui vont et viennent sans destination fixe. Au niveau du péage par exemple, le chef traditionnel décrie la présence au quotidien de ces personnes qui vadrouillent, le sac accroché au dos. « Lorsque vous voulez les interroger, ils disparaissent. Vous les retrouvez plus tard avec une bouteille de bière qu’ils sirotent lentement. Ils sortent d’où ? Ils font quoi là ? On ne peut imaginer. Une situation que j’ai plusieurs fois déplorée en réunion de sécurité », indique S.M Bell Bell Louis.

Dans ce village où les vols de moto sont légion, le chef d’Ekite 4 indique qu’il a lui-même déjà été victime à trois reprises. La moto actuelle sur laquelle il se déplace est un don des populations de son village. Elles ont été affectées de voir leur chef en pleurs après le vol de sa troisième moto. Lire la suite

Mathias Ngamo Mouendé


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