C’est une image triste au lieu-dit Carrefour Nkoabang qui servait de marché. Des casses sont visibles de gauche à droite. Des boutiques complètement démolies et à moitié sont perceptibles. Seuls des débris de matériaux de construction sont restés. Au bord de la chaussée, quelques vendeurs sont encore présents. L’on peut circuler librement. Plus besoin de faire 30 à 40 minutes pour aller du Carrefour Nkoabang pour l’entrée Carrière comme le mentionnent des conducteurs de taxi. Les pieds pleins de boue, la tête recouverte d’un chapeau large bord, Yvonne Fongang tient un sac entre les mains. A l’intérieur de celui-ci se trouve son matériel de pose d’ongles qu’elle a emprunté chez une cousine. Elle accoste les clients pour offrir ses services malgré la pluie. Lire la suite