
Speaker et modérateur de plusieurs ateliers, l’ancien footballeur professionnel, justifie son adhésion au projet.
Quel regard portez-vous sur le déroulement de la deuxième édition du festival Mboa Paris ?
J’ai été moi-même impacté par les parcours des intervenants racontés dans les différents ateliers. Ils ont partagé leurs expériences avec beaucoup de sincérité. C’était une journée très édifiante et inspirante. C’est toujours bien de partager, transmettre le vécu des uns et des autres à la jeunesse. La diaspora est un bon pilier pour le développement, si elle est bien outillée.
Quel peut être l’apport d’une telle initiative ?
Présenter à la diaspora camerounaise, ses modèles de réussite est un acte louable et à saluer. C’est en ce sens que cet évènement est doublement intéressant. Je suis fier d’avoir pris part, une fois de plus à cette édition. C’est un type d’initiative à perpétuer, afin que l’excellence toujours soit mise en avant. Je fais du coaching en développement personnel, des masterclass, je cherche la performance, j’accompagne des sportifs et des cadres. C’est quelque chose qui me plaît énormément. Il faut prendre conscience de l’environnement dans lequel nous vivons, ainsi que les réalités. On ne peut faire du copier-coller sur tout, parce que, chacun de nous à une identité, un talent.
Propos recueillis par Caristan Isseri à Paris