
À la veille de la prestation de serment de Paul Biya, président réélu avec 53,66 % des suffrages lors de la présidentielle du 12 octobre 2025, le secrétaire à la communication du RDPC envoie un message fort à ceux qui prônent le chaos au Cameroun.
Pour le Pr Jacques Fame Ndongo, le peuple n’est pas dupe. Il veut vivre en paix. Et le chef de l’État n’a qu’un seul maître : le peuple (« vox populi, vox dei » : la voix du peuple est la voix de Dieu, dit l’adage). « C’est grâce à la paix que tout être humain peut se nourrir, se désaltérer, cultiver son champ, aller à la chasse ou à la pêche, élever son bétail, aller à l’école, se soigner, se rendre au bureau, à l’usine, au marché, conduire son camion, son taxi, sa moto, sa bicyclette, marcher sans peur sur les sentiers de la steppe, de la savane, de la forêt ou à travers les rues de n’importe que le vile, aller à la mosquée ou à l’église etc… en toute sérénité », insiste-t-il encore.
Aimer le Cameroun Pour le ministre d’Etat, « aucune Nation ne s’est construite dans le désordre, l’anarchie, la chienlit. Aucune grande œuvre scientifique, technologique, artistique, culture, le ou architecturale, etc… n’est la résultante d’un joyeux bordel généralisé ». « En prêtant serment demain, le Président Paul BIYA, réélu démocratiquement par le peuple souverain, nous invite, toutes et tous, sans exclusive (que les que soient nos appartenances ethniques, régionales, confessionnelles, linguistiques, nos opinions politiques ou philosophiques) à sceller une solide union sacrée pour la mise en œuvre de la nouvelle dynamique nationale qu’il va impulser, avec tous, dans le cadre du septennat des grandes espérances, à l’aune du « grand destin qui attend le Cameroun » (Président Paul BIYA. 10 avril 1988) », écrit-il encore. Fame Ndongo fustige « Ceux qui prônent la violence, les « vi les mortes », le désordre, voire le chaos ou le néant, n’aiment ni le Cameroun, ni les Camerounais. Ils ont choisi une voie périlleuse…Il le demeurera par la volonté du peuple qui vient de réélire le Chef de l’État, au suffrage universel direct ».





